La hausse du pétrole que l’AIE prévoit la plus grande non-OPEP chute en 25 ans
La hausse du pétrole que l’AIE prévoit la plus grande non-OPEP chute en 25 ans
SINGAPOUR (Reuters) – Les cours du brut ont augmenté jeudi, inversant les baisses antérieures, comme l’Agence internationale de l’énergie (AIE) a déclaré que 2016 verrait la plus grande baisse de production non-OPEP en une génération,
aider à rééquilibrer un marché qui a été poursuivi par une offre excédentaire.
chef Fatih Birol de l’AIE a déclaré jeudi que les bas prix du pétrole avaient coupé l’investissement d’environ 40 pour cent au cours des deux dernières années,
avec de fortes chutes aux États-Unis, le Canada, l’Amérique latine et la Russie.
«Cette année, nous nous attendons à la plus grande baisse de l’offre hors OPEP de pétrole au cours des 25 dernières années, près de 700.000 barils par jour.
Dans le même temps, la croissance de la demande mondiale est dans un rythme effréné, dirigé par l’Inde, la Chine et d’autres pays émergents « , at-il dit aux journalistes à Tokyo.
Les commentaires inversées plus tôt la baisse des prix du brut.
Après avoir chuté à un plus bas en séance de 45,23 $ par baril jeudi, avant mois à terme du Brent a augmenté à 46,10 $ le baril en 0555 GMT, en hausse de 30 cents par rapport à leur dernière clôture.
à terme de pétrole brut des États-Unis a chuté à 43,62 $ avant de remonter à 44,43 $ le baril, en hausse de 25 cents par rapport à leur dernière clôture.
« L’optimisme est de retour sur les marchés de l’énergie, au moins pour l’instant, » les analystes de Bernstein Research dans une note aux clients.
Mais pesant sur les marchés étaient les déclarations antérieures de la Russie et de l’Iran. Le ministre de l’énergie de la Russie a déclaré qu’elle pourrait pousser la production de pétrole à des sommets historiques
de plus de 12 millions de barils par jour (bpj) quelques jours seulement après un accord mondial visant à geler les niveaux de production se sont effondrés et l’Arabie Saoudite ont menacé d’inonder les marchés avec plus brut.
Pendant ce temps, l’Iran, déterminé à regagner des parts de marché suite à la levée des sanctions Janvier dernier, a réitéré son intention d’atteindre la production de 4 millions de barils par jour.
Avec les grands producteurs du Moyen-Orient et de la Russie apparemment de course pour augmenter la production, beaucoup dépendra de foreurs et de la demande des États-Unis afin de déterminer combien de temps la surabondance mondiale dure,
qui voit entre 1 million et 2 millions de barils de brut pompés chaque jour au-delà de la demande.
« Tout espoir de marché rééquilibrage de l’excédent courant en alimentation (mensonges) sur le déclin prévu de la production pétrolière des États-Unis, » la banque française BNP Paribas (PA: BNPP) a dit.
« États-Unis comptent pour la majeure partie de 2016 l’approvisionnement en pétrole contraction de non-OPEP de 700.000 barils par jour prévisions. Si la baisse de l’approvisionnement en pétrole des États-Unis se révèle insuffisante pour resserrer les soldes,
puis … le prix du pétrole restera faible, « at-il ajouté.
Bernstein a déclaré: «nous croyons à $ 50- $ 60 par baril, le pétrole américain schiste a un avenir clair. »
Dans les produits raffinés, la Chine a vu les exportations de diesel et de l’essence monter en flèche, renverser du carburant excédentaire dans un marché qui est déjà bien fourni,
et menaçant de réduire davantage les marges de référence de raffinage asiatiques qui ont diminué de moitié depuis le début de l’année.
Walters Richardson 
